lundi 13 septembre 2010

La liberté éclairant le monde (1) – Barentin


Une véritable star du cinéma : la réplique de statue de liberté qui apparaît dans Le Cerveau de Gérard Oury, celle à laquelle s’accroche Bebel, celle d’où s’échappent les billets à la fin du film.




Elle pèse 3,5 tonnes pour 13,5 m de haut. Elle est faite essentiellement de polyester. Après avoir longtemps séjourné dans les locaux de la douane de Saint-Maurice, et faute de dédouanement, elle faillit être détruite mais fut sauvée, in extremis, par l’action conjuguée de Gérard Oury, de Paul Belmondo (sculpteur et père d’acteur) et d’André Marie, maire de Barentin.



D’abord installée, en 1969, sur une des places du bourg, elle fut déplacée, en 1973, sur un plateau dominant les nouvelles extensions de celui-ci.
Elle est, depuis avril 1990, plantée au milieu d’un rond-point à l’entrée d’une zone industrielle, celle de Mesnil-Roux – à proximité d’un Mac Donald ou de grandes surfaces spécialisées dans la literie ou le salon tout cuir.