2358e jour - Le poète portlandais dit : j’aime venir ici. C’est vraiment le bout du parc [le parc, c’est l’Overlook Park] mais ça vaut le coup, il n’y a jamais grand monde. Je peux rester des heures. Je me pose sur la table, là, et je regarde en bas : les containers, les trains de l’Union Pacific ou les péniches qui filent sur la Willamette. Je viens plutôt l’hiver. L'été, les arbres sont trop verts et on ne voit pas grand chose de la course du monde.
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