1405e jour - Plus tard, ce soir-là, alors que je venais de la quitter depuis une heure à peine, elle m’a appelé parce qu’elle venait de se souvenir de promeneurs de chiens aperçus à Buenos Aires, c’était un truc qui l’avait marquée : des types avec des grappes de chiens tenus en laisse, des petits, des gros.
Toujours au téléphone, elle me demanda d’attendre une seconde, le temps d’ouvrir une page sur internet. Elle lut : Je me souviens encore de mon étonnement la première fois que je vis dans la rue une meute de chiens (une bonne quinzaine) tous tenus en laisse par un seul homme… En fait, il s'agissait de ce qu'on appelle ici un promeneur de chiens ou "paseador de perros"…
Elle ajouta : J'espère que tu auras l'occasion d'en voir.
/////// Si vous avez aimé ce post, peut-être apprécierez-vous celui-ci.