2019e jour - Lagos de riches, Lagos de pauvres, un article signé Sophie Bouillon dans Libération (ici). Le début du texte :
La première fois qu’on voit Lagos, on ne peut que trouver cette ville
franchement laide. On amorce l’atterrissage vers la capitale économique
de l’Afrique en pénétrant un nuage brunâtre, une nuée de poussière mêlée
à l’humidité et à la pollution. Pas un arbre à l’horizon, pas un espace
vert, ni d’espace tout court d’ailleurs. La vue du hublot se limite à
un ramassis de maisons collées les unes aux autres, sous des toits en
tôle, transpercé par des rues terreuses encombrées de dizaines de
milliers de voitures et de bus jaunes.
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