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Plus tard, j’ai découvert, que l’œuvre est mitoyenne d’un “centre de toxicomanie et de santé mentale” et que son auteur (Jesse Harris) la voit tout à la fois comme un message d’encouragement adressé aux patients du centre et comme un commentaire empreint d’ironie sur l’embourgeoisement rapide du quartier./////// Si vous avez aimé ce post, peut-être apprécierez-vous celui-ci