943e jour - C'est le long des rives du Rio Capibaribe, une zone vague à l'herbe brûlée par le soleil.
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Ils sont une bonne dizaine de chevaux disséminés sur une bande d'une petite centaine de mètres de terrain.Je suppose qu'au quotidien ils servent à tirer des carrioles (transport de matières premières, de fruits et légumes ou de touristes).
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Je ne saurais dire exactement pourquoi (peut-être à cause de la ville tout autour) mais les voir ainsi, abandonnés à leur solitude de peu, me remplit d'une infinie tristesse./////// Si vous avez aimé ce post, peut-être apprécierez-vous celui-ci.