1057e jour - On peut vouloir arpenter les campagnes du Devon parce qu'on a vu un homme seul sur scène avec sa guitare quelque part à Paris ou à Glastonbury.
L'homme aurait laissé une impression saisissante… Il serait originaire du Devon – il y vivrait. Alors on aurait envie d'aller voir.
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L'homme porterait un nom commun mais son talent, lui, serait hors-norme. L'homme s'appellerait John Smith.Personnellement, c'est à Paris que je l'ai découvert. À la Cigale, en ouverture d'un concert de Hugh Coltman.
Je n'ai jamais vu quelqu'un – en première partie – capter comme il l'a fait l'attention du public. Une prouesse d'autant plus exceptionnelle qu'elle était construite sur trois fois rien – une voix, une guitare.
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Oui, on peut vouloir découvrir le Devon parce qu'on a vu un homme sur scène.Et là, dans la campagne du Devon qu'il habite (qui l'habite), en observant les paysages, on peut avoir l'impression (un peu) de comprendre une part de son secret.
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