(complément au message d’hier)
Au cœur de la nuit, je me réveille : pourquoi n’y ai-je pas pensé plus tôt ! Dans la plupart des villes américaines, après une première campagne où les images avaient une faible définition, des vues plus résolues ont été ajoutées, pour l’essentiel aux croisements des artères principales. Peut-être est-ce le cas à Portland ! Peut-être y a-t-il un point, alentour, à partir duquel les mots apparaissent…
Keep Portland Weird…
J’attend le petit-déjeuner pour allumer l’ordinateur. Et je découvre une image sur laquelle le mur blanc a fait place à l’aplat noir et au slogan. Celui-ci est certes en partie masqué par un arbre mais il est bien visible, dans toute sa grandeur. La photo date de 2009.
Ambivalence des sentiments : je suis heureux d’avoir découvert l’image mais déçu de ne pas l’avoir fait plus tôt.