3602e jour - Les Shōtengai ne sont pas forcément couverts (mais ils le sont la plupart du temps). Définition trouvée sur Kotoba :
商店街 est composé du terme shôten (商店) signifiant “magasins, boutiques” et gai (街) qui correspond ici au “quartier” ou à la “rue”. Selon les données statistiques, les rues commerçantes doivent contenir au moins 30 boutiques dont des restaurants et des commerces au détail pour rentrer dans la catégorie des shôtengai. On en dénombrerait ainsi 12568 dans tout le Japon avec cette définition.
Autre citation, cette fois c’est au site Demain la ville que j’emprunte :
Que l’on pointe du doigt le développement du e-commerce dominé par
des géants, ou bien l’évolution des mœurs qui ne pousse pas vraiment les
jeunes générations à reprendre le boui-boui des parents, l’oraison
funèbre de la rue commerciale japonaise à l’ancienne semble pointer le
bout de son nez.
“On voit de plus en plus de galeries marchandes fermer chaque année créant ce qu’on appelle des shata dori (シャッター通り, qui vient de l’anglais “shuttered doors”, les portes fermées), c’est à dire des ‘allées de rideaux de fers’ de magasins qui ont fermé définitivement. Ces véritables ‘rues fantômes’ sont devenues monnaie courante un peu partout, environ 400 sont apparues rien qu’en 2009 !”
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