1876e jour - Fut un temps, on pouvait espérer arriver à Gary par le train. Aujourd’hui, la gare n’est plus ; n’est plus qu’un tas de gravas et de métal plié.
Il arrive encore qu’on entende des convois passer mais ce sont des trains de marchandise. Ils ne s’arrêtent pas ; ils sont de moins en moins nombreux de toute façon. Les aciéries qu’ils desservent sont elles aussi mal en point.
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