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lundi 12 novembre 2012

Le goût du presque rien - Košice

860e jour - C'est difficile à expliquer mais je peux être ému par un mug posé sur un trottoir au pied d'une chaise en plastique (couverte d'un coussin).
Quand je l'aperçois, j'essaye d'imaginer l'homme – ou la femme – qui vient de
s'absenter ; j'essaye d'imaginer le temps qu'il passe ici en temps normal, je veux dire dans cette rue étroite, face à un haut mur de pierre.
Je l'imagine gardien de rue ou quelque chose comme ça. Je voyage…

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