Des pavillons en construction – des murs de parpaings, chantiers comme arrêtés –, d’autres en ruine.
Des guirlandes suspendues au-dessus de la place principale.
Et une poussière crayeuse tombée avec la dernière pluie – il y a combien de temps ? – qui recouvre plantes et arbres d'un voile opaque, opalescent.
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Je me promène dans tout le village. je ne croise pas âme qui vive si ce n'est, en repartant, une femme et son enfant. C'est à proximité de la nationale. Et je me demande où ils se rendent ainsi, en plein cagnard./////// Si vous avez aimé ce post, peut-être apprécierez-vous celui-ci.