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mardi 11 octobre 2011

Le paradis du voyeur, ou alors son enfer - Amsterdam





470e jour - Une architecture qui fait la part belle aux baies vitrées, une absence quasi-systématique de rideaux…
On peut avoir l'impression se promenant d'être connecté à une émission de téléréalité : partout des intérieurs placés directement sous le regard de l'objectif : des salons, des cuisines, des bureaux… Ne parlons pas des vitrines des prostituées.
Une question, du coup, me traverse l'esprit : les voyeurs trouvent-ils leur compte dans pareille transparence ? Bien sûr, il y a à voir mais tout est si accessible… Ça peut en devenir, j'imagine, banal et, au final, pour les pervers, guère enthousiasmant.

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