337e jour - Estimées insalubres, considérées comme potentiels repères à relations interlopes, les vespasiennes ont toutes disparues de Paris, remplacées par des sanisettes pleines de promesses d’hygiène et d’ordre public. Toutes sauf une, en fait.
La dernière vespasiennes de Paris est plantée – pour combien de temps encore ? – boulevard Arago, sur le trottoir qui longe la prison de la Santé – faut-il voir là un rapport de cause à effet ?